Mon Voyage en Amérique du Sud (Nov.2006-Janv. 2007)

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Les commentaires suivront plus tard, à mon retour en France.

Je suis frappé en arrivant à Buenos Aires par les tours en verre qui se dressent aux quatre coins de cette immense ville. La circulation est intense. On sent une ville animée par un désir de modernité qui est entrée de plain-pied dans le 21^ème siècle. Je loge dans un hôtel au cœur de la vieille ville. Il y a beaucoup de rues piétonnes très commerçantes, où se presse une foule aux multiples visages, spécialement en ces jours qui précèdent Noël.

Les danseurs de Tango dans la calle Florida

La Plaza de Mayo est noire de monde.
Il y a une manifestation de groupes socialistes et révolutionnaires,
beaucoup de policiers et des grilles qui empêchent l’accès à la
« Maison Rose » siège du gouvernement.

La plaza de la Republica avec l'Obélisque

Montevideo, capitale de l’Uruguay.
Ville qui semble s’être figée au détour des années 50 du siècle dernier.
Quelques gratte-ciels un peu démodés, impressionnants.
Un vieux quartier avec des camelots qui vendent des produits artisanaux
provenant de toute l’Amérique du Sud.
Un port immense où je prendrai le bateau pour Buenos Aires.
(3 heures pour traverser le Rio de la Plata qui est l’embouchure du Rio Uruguay
et du Rio Parana que j’ai précédemment cotoyé près des chutes d’Iguaçu…)
Le Marché du Port est assez typique, j’y ai déjeuné au « Bar de l’Amitié ».
On est assis sur des tabourets hauts en face d’un feu de bois sur lequel le cuisinier
fait griller de beaux morceaux de viande qui est délicieuse et peu chère.
Même le manuel de conversation Espagnol-Français que j’achète date des années 60 !

Palacio Salvo

Le Général José Artigas – Place de l’Indépendance

Viandes ou poissons sur les feux de bois

Récupération de tout ce qui peut rapporter quelques pesos...

Le bateau de la compagnie « Buquebus » à destination de Buenos Aires.

« Caminho da Costa da Lagoa »

Au centre de l’île, il y a un grand lac « Lagoa da Conceiçao » qui s’étend entre la côte et les montagnes de l’intérieur couvertes par la forêt sub-tropicale.

Nous partons avec Helen de Lagoa, une petite ville touristique située près d’un pont qui enjambe le lac à un endroit où il se resserre pour former un autre petit lac.

Le Chemin suit le lac au pied des montagnes, il y a tout le long au milieu d’une belle végétation de petites maisons en bois habitées par des familles à l’année ou par des citadins qui y viennent le week-end.

Il y a également des cabanes de pêcheurs et des petits bateaux qui peuvent rejoindre l’océan par un canal à Barra da Lagoa.

Au bout du Chemin, on arrive à un village où se trouvent plusieurs restaurants.
On boit une « caïpirinha » mélange de cachaça, de citron vert écrasé, de sucre de canne et de glace pilée.
On y mange des crevettes et du poisson arrosé par de la bière à volonté, bien fraîche.
Le retour se fait sur un petit bateau qui fait la navette entre les différentes zones habitées
et nous ramène à Lagoa.

Une vue de Lagoa avec en arrière-plan, l'océan

Tout au long du chemin, une belle végétation

Un petit village de pêcheurs

Le lac et une belle vue sur les dunes,
à l'arrière de la praia de Joaquina
(La plage rendez-vous des surfeurs)

Tatu ou Coati ?

Ce lézard n'est pas farouche

Les beaux papillons...

Les condors se sont donnés rendez-vous

Un autre gros lézard

L'après-midi, le soleil a tourné et les chutes ont pris d'autres teintes
et se parent de beaux reflets.

Une autre vue de la chute "San Martin"

Vue des chutes depuis l'île San Martin

Un des plus beaux points de vue (et l'artiste en prime !)